La lettre de Paul aux Colossiens est riche d’instructions qui mettent un frein radical à toutes bonnes intentions qui consisteraient à ajouter à l’œuvre de Christ une quelconque contribution humaine. Certes, Dieu implique ses élus dans son œuvre mais non pas dans ce qu’ils amènent mais davantage dans ce qu’ils reçoivent. Voilà ce que l’apôtre des gentils nous rappelle : « 8 Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ. 9 Car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité. 10 Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité. »
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