
Il faut remarquer l’attention particulière que Jésus accordait aux estropiés et mal-foutus de la vie lors de sa première venue. De son côté, l’élite religieuse (pharisiens, scribes, prêtres) était trop occupée à servir Dieu dans le maintien scrupuleux des détails de la Loi pour prendre plaisir à la miséricorde de Dieu. Posons-nous la question à savoir si l’Église de notre temps n’est pas tombée dans le piège? Quelle place faisons-nous à tous ces gens (chrétiens y compris) qui ont échoué lamentablement leur vie mais qui pourtant sont l’objet des compassions et de la miséricorde de Dieu?




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