
Au chapitre deux de sa lettre aux Romains, Paul enfonce le dernier clou sur le cercueil de l’homme naturelle qui croit en sa propre bonté pour assurer son salut. De plus, au chapitre 3, l’apôtre ajoute que cette impossibilité s’étend à tous les hommes sans exception : « n’y a point de juste, Pas même un seul; Nul n’est intelligent, Nul ne cherche Dieu; Tous sont égarés, tous sont pervertis; Il n’en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul. »




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