
Le message de l’Évangile présente un paradoxe étonnant. Il promet la vie mais non sans passer par le couloir de la mort. Non pas cette mort qui arrive au bout de la vie, mais la mort passée, cette mort en Jésus-Christ à la croix qui nous est arrivée alors que nous n’existions pas encore. Bon je sais, c’est un peu bizarre, mais c’est comme ça que ça fonctionne. Vous pigez?




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