M. Gaudreault nous présente le tableau d’une humanité déchue et de son histoire qui sera inexorablement frappé par une déchéance tout aussi dramatique. Ce n’est pas lui qui le dit, c’est l’Écriture dans tous les passages où il est question de la fin des temps (eschatologie). Il en fait ressortir les éléments plus souvent sombres, mais n’oublie pas de souligner certains beaux aspects de cette aventure humaine. À sa face même, le progrès n’est pas une mauvaise chose. Échafaudé en dogme, le progrès devient alors le progressisme entrainant toute sorte de dérive au gré des influences de chaque époque. Partout où l’on trouve des régimes autocratiques, il existe de ses objecteurs de conscience (ʺcontradicteursʺ) poursuivant des projets plein de promesses pour leurs pairs. Un salut par le renversement populaire, déclament-ils.
Jésus-Christ, nous dit l’Écriture, est «un signe qui provoquera la contradiction»; le terme «contradiction» (gr. antilego) dans ce passage prend le sens de «s’opposer à quelqu’un, refuser d’obéir, refuser d’avoir à faire à quelqu’un». On peut effectivement lire qu’il a confronté les juifs et bafoué certaines règles du judaïsme tel que pratiqué à son époque (ex : lavage des mains, sabbat etc.) provoquant l’ire des autorités pharisaïques. Pas surprenant que l’être parfait qu’il incarne soit en parfaite contradiction au sein d’un monde si imparfait. Surtout quand on sait ce que les autorités religieuses de son époque, empreint de jalousie et dérouté par cette sagesse implacable, lui ont fait subir. Ces experts du dogme n’ont jamais reconnu leur Messie. C’est le propre du dogmatisme; il engendre des inaptes privés de sens critique (étroitesse d’esprit, obscurantisme religieux, chauvinisme etc.) et présentant peu d’autonomie psychologique (adhésion irréfléchie et machinale aux valeurs de l’Institution, traditionalisme etc.).
Tout comme ceux qui, au cours de l’histoire, ont voulu changer les paradigmes existants. Sans la sagesse d’en haut et s’émancipant de l’appuie de leur Créateur, ils ont tous faillis. On ne retient ici et là les quelques idées phares, sans pouvoir les réaliser sur le fond. C’est normal, qui peut vraiment changer le cœur humain et mener à terme un tel projet universel.
Le progressisme naissant du siècle des lumières, est une proposition émergeant des milieux intellectuels (bien nantis souvent) qui voulait déloger les pouvoirs despotes aristocratiques et religieuses (et pour cause…). Cette mouvance avait la prétention d’une connaissance révolutionnaire des rapports humains faisant la promotion d’un système politique plaçant le bien-être humain plus que l’avancement servile à la production de biens.
Se peut-il que tout ce qui s’élève en dogme idéologique (progressisme, humanisme, conservatisme, christianisme, islamisme etc.) peut à la fois rassurer de par les rituels et réflexes qu’on s’impose (tout est déjà tracé par les dominants), et à la fois, peut piéger les tenants par une culture unique et une orthodoxie intransigeante et rigide (ré : lignes de parti, courants philosophiques, réflexes institutionnalisées par la religion etc.) ? Aucune civilisation n’a pu mener à terme ces grands principes d’équités édictés par l’enseignement de ses maîtres à pensées. Bien au contraire, comme l’a soulevé M Gaudreault, sans Christ l’homme court à sa perte. C’est ce que l’Écriture déclare (épître aux Romains) rappelle M Gaudreault et c’est ce qui se produit.
Bien hâte d’entendre la suite de votre présentation M Gaudreault.
M. Gaudreault nous présente le tableau d’une humanité déchue et de son histoire qui sera inexorablement frappé par une déchéance tout aussi dramatique. Ce n’est pas lui qui le dit, c’est l’Écriture dans tous les passages où il est question de la fin des temps (eschatologie). Il en fait ressortir les éléments plus souvent sombres, mais n’oublie pas de souligner certains beaux aspects de cette aventure humaine. À sa face même, le progrès n’est pas une mauvaise chose. Échafaudé en dogme, le progrès devient alors le progressisme entrainant toute sorte de dérive au gré des influences de chaque époque. Partout où l’on trouve des régimes autocratiques, il existe de ses objecteurs de conscience (ʺcontradicteursʺ) poursuivant des projets plein de promesses pour leurs pairs. Un salut par le renversement populaire, déclament-ils.
Jésus-Christ, nous dit l’Écriture, est «un signe qui provoquera la contradiction»; le terme «contradiction» (gr. antilego) dans ce passage prend le sens de «s’opposer à quelqu’un, refuser d’obéir, refuser d’avoir à faire à quelqu’un». On peut effectivement lire qu’il a confronté les juifs et bafoué certaines règles du judaïsme tel que pratiqué à son époque (ex : lavage des mains, sabbat etc.) provoquant l’ire des autorités pharisaïques. Pas surprenant que l’être parfait qu’il incarne soit en parfaite contradiction au sein d’un monde si imparfait. Surtout quand on sait ce que les autorités religieuses de son époque, empreint de jalousie et dérouté par cette sagesse implacable, lui ont fait subir. Ces experts du dogme n’ont jamais reconnu leur Messie. C’est le propre du dogmatisme; il engendre des inaptes privés de sens critique (étroitesse d’esprit, obscurantisme religieux, chauvinisme etc.) et présentant peu d’autonomie psychologique (adhésion irréfléchie et machinale aux valeurs de l’Institution, traditionalisme etc.).
Tout comme ceux qui, au cours de l’histoire, ont voulu changer les paradigmes existants. Sans la sagesse d’en haut et s’émancipant de l’appuie de leur Créateur, ils ont tous faillis. On ne retient ici et là les quelques idées phares, sans pouvoir les réaliser sur le fond. C’est normal, qui peut vraiment changer le cœur humain et mener à terme un tel projet universel.
Le progressisme naissant du siècle des lumières, est une proposition émergeant des milieux intellectuels (bien nantis souvent) qui voulait déloger les pouvoirs despotes aristocratiques et religieuses (et pour cause…). Cette mouvance avait la prétention d’une connaissance révolutionnaire des rapports humains faisant la promotion d’un système politique plaçant le bien-être humain plus que l’avancement servile à la production de biens.
Se peut-il que tout ce qui s’élève en dogme idéologique (progressisme, humanisme, conservatisme, christianisme, islamisme etc.) peut à la fois rassurer de par les rituels et réflexes qu’on s’impose (tout est déjà tracé par les dominants), et à la fois, peut piéger les tenants par une culture unique et une orthodoxie intransigeante et rigide (ré : lignes de parti, courants philosophiques, réflexes institutionnalisées par la religion etc.) ? Aucune civilisation n’a pu mener à terme ces grands principes d’équités édictés par l’enseignement de ses maîtres à pensées. Bien au contraire, comme l’a soulevé M Gaudreault, sans Christ l’homme court à sa perte. C’est ce que l’Écriture déclare (épître aux Romains) rappelle M Gaudreault et c’est ce qui se produit.
Bien hâte d’entendre la suite de votre présentation M Gaudreault.
Merci pour l’histoire ça me fait du bien de vous écouter et je vais continuer que Le Seigneur vous Bénisse merci encore
Merci et bonne journée Claudette,