
À l’agneau, soient la louange, l’honneur, la gloire
Au-delà de la tristesse qui afflige nos cœurs devant la sévérité du juste jugement de Dieu contre le péché, il n’en demeure pas moins que la bonté et la grâce de Dieu n’a de mesure que la hauteur de la condamnation dont il me délivre par son sacrifice. Si Romain 1 est effectivement le miroir qui reflète la colère de Dieu qui m’est dû, il est aussi le miroir de la colère que Dieu s’est infligé à lui-même par l’incarnation du fils qui affronte le pire de tous les jugements à ma place. Que me reste-t-il à dire ensuite? Je ne peux que célébrer à la manière de cette foule devant le trône de l’Agneau d’Apocalypse 5 : 13 “et à l’agneau, soient la louange, l’honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! “




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