Évangile de Jean (séance 5)

S’il y a bien une chose que les hommes préfèrent ignorer, c’est la profondeur des ténèbres qui les habitent. La vaste majorité des gens passent leur vie à faire du mieux qu’ils peuvent pour se donner une qualité de vie qui leur permet d’avoir une bonne conscience. Bien entendu, aucun n’ignore ses défauts, comme on le dit ici-bas : « personne n’est parfait. » C’est ainsi que l’on mène sa vie en se rappelant davantage nos bons coups.

Puis le Christ s’amène dans notre vie telle une lumière aux reflets pénétrants qui bousculent la quiétude d’une conscience incapable d’en freiner les élans. Tout à coup, cette bonne conscience, qui a pris toute une vie à construire, s’écroule par les rayons de cette cruelle lumière. Une lumière, certes cruelle, mais une lumière qui amène le pardon et qui délivre le pécheur de ses ténèbres.

« Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. Nulle créature n’est cachée devant lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte. » (Hébreux 4 : 12-13)

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